Les peuples non contactés ne sont pas arriérés ; ils ne sont pas non plus les reliques primitives d’un passé révolu. Ce sont nos contemporains et ils constituent une part essentielle de la diversité humaine :
-
Leurs terres doivent être protégées – sinon ils courent à la catastrophe.
-
Le choix d’initier un contact avec le monde extérieur leur revient. Les tentatives faites par des personnes extérieures d’entrer en contact avec eux sont fatales et leur dénient ce droit.